Cette décision fait suite également aux choix de pays voisins de la France : le confinement similaire en Italie commencé le 9 mars 2020, ainsi que celui appliqué en Espagne depuis le 15 mars 2020. Leurs conditions de vie sont plus difficiles qu'ailleurs, avec des logements surpeuplés par rapport à la moyenne nationale[56] et une plus grande difficulté à s'informer sur la crise sanitaire et à y faire face notamment à cause de la fracture numérique[58]. ». Urgence de santé publique de portée internationale, Conséquences économiques, sociales et environnementales, Conséquences sur les personnes handicapées, Mouvements d'opposition au port du masque, marché de gros de fruits de mer de Huanan, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Confinements_liés_à_la_pandémie_de_Covid-19_en_France&oldid=180862452, Confinement lié à la pandémie de Covid-19, Pages avec des arguments non numériques dans formatnum, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Maladie à coronavirus 2019/Articles liés, Portail:Maladies infectieuses/Articles liés, Portail:Politique française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. C'est en banlieue que sont localisés la quasi-totalité des cas rapportés de violence policière pendant le confinement[61]. Certains catholiques se rassemblent devant les églises et cathédrales, récitant des chapelets et entonnant des chants religieux[172]. Outre le reconfinement total (la solution finalement choisie par l’exécutif), figuraient : C’est dans un contexte de recrudescence du nombre de contaminations et de crainte d’une saturation complète des services de réanimation (le taux d’occupation des lits occupés par des patients atteints du Covid-19 frôle aujourd’hui celui du début du mois de mars dernier) qu’Emmanuel Macron a pris la parole le 28 octobre. « Seuls les travaux pratiques pourront être maintenus dans les établissements », a précisé le premier ministre Jean Castex. Il est annoncé en vigueur à partir du vendredi 30 octobre, et dans un premier temps, jusqu'au 1er décembre[144]. La dernière modification de cette page a été faite le 14 mars 2021 à 15:18. Par contre les universités doivent assurer les cours magistraux et les travaux dirigés en distanciel ce qui introduit une inégalité de traitement[142],[143]. Le gouvernement a imposé, depuis le 20 juillet 2020, le port obligatoire du masque de protection chirurgical ou « grand public » (en tissu lavable) dans les lieux publics clos sur l’ensemble du territoire français. Les enfants migrants sont exposés au risque de contracter le coronavirus en raison des défaillances des autorités de protection de l'enfance à Marseille et à Gap, a déclaré Human Rights Watch. Mais leurs restaurants ne peuvent pas ouvrir. Général, localisé : quel reconfinement face à une deuxième vague de Covid-19 ? Selon le médecin infectiologue Jérôme Salomon, le reconfinement n'est pas assez strict en raison des nombreux établissements ouverts par rapport au premier confinement. Il est évident que pour des raisons de santé publique il faut les sortir de là, mais le gouvernement n'a pas pris de mesures sérieuses là-dessus, « on est très loin du compte pour les sans-abri, et il n'y a rien pour les mal-logés. Fin octobre, avant le deuxième confinement, il était à 1,3. Pour évaluer l’accélération soudaine du nombre de contaminations à la Covid-19, le ministère de ministère de la Santé retient, entre autres, comme critère le taux de reproduction du virus (le R0). Parmi les réponses applicables : l’obligation du port du masque de protection en extérieur. A la mi-mars 2020, date du premier confinement, il était estimé à près de 2. « Le télétravail n’est désormais plus une option », a-t-elle martelé. Sans un emploi stable, les propriétaires n'arrivent pas à assurer leurs employés ainsi qu'eux-mêmes. Les personnes ont cependant été soumises à des règles de déplacement hors de leur domicile moins strictes que lors de la mise sous cloche du printemps 2020. Pour le ministère des Solidarités et de la Santé : « limiter les contacts permet de sauver des vies »[74]. Un décret, paru au Journal Officiel du 3 novembre 2020, a précisé la liste des produits dits « essentiels » – déjà listés dans le décret paru le 30 octobre 2020 au JO (voir plus haut l’ancienne et la nouvelle liste) – qui pourront toujours être vendus par « les supermarchés, les magasins multi-commerces, les hypermarchés et les autres magasins de vente d’une surface de plus de 400 mètres carrés » à compter du 4 novembre 2020. À partir du 16 mai, quelques plages françaises commencent à rouvrir selon les décisions prises par les préfets de chaque région, le bronzage et s'y asseoir restant interdits sur la majorité des plages concernées[42] ; une carte de « déconfinement des plages » est dressée[43]. Voici les attestations qu’il fallait télécharger pour effectuer un déplacement entre le 28 novembre 2020 et le 14 décembre 2020 (elles ne sont plus valables) : Comme prévu, un nouveau couvre-feu a pris la relève du nouveau confinement, le 15 décembre 2020 : en dehors des horaires du couvre-feu nocturne (entre 20 heures et 6 heures du matin), il n’y a plus besoin de justificatif pour se déplacer en journée. Dans un entretien paru le 20 août dans Paris Match, le président de la République avait pourtant exclu un nouveau confinement à l’échelle de la France entière, sans écarter le scénario de reconfinements localisés. Dans un premier décret paru au Journal Officiel du 30 octobre 2020, le gouvernement a précisé la liste des activités « essentielles » qui permettaient l’ouverture d’un commerce au début du nouveau confinement : Mais un nouveau décret, paru le 3 novembre 2020 au Journal Officiel, a modifié la liste des produits de première nécessité autorisés à être vendus par les commerces pouvant ouvrir pendant le deuxième confinement (à compter du 28 novembre 2020). Chasse : le calendrier 2020-2021 et les règles à respecter, Vacances au ski 2020-2021 : les dates d’ouverture et de fermeture des stations par région, Barèmes infractions routières et amendes 2020, - Commerces de gros (magasins alimentaires, jardineries…), Sur les grands rassemblements (Foire de la Madeleine, Abbeville Plage), Sur les foires et les marchés en plein air de la commune, - sur les rues piétonnes à proximité de la plage, - marché place Saint-Patrice, tous les samedis, Dans certaines zones délimitées de la ville (hyper centre-ville), Dans certaines zones délimitées de la ville (hyper centre-ville en bord de mer), - À Biscarosse Plage (avenue de la Plage dans sa section comprise entre la rue Vincent de Paul et le boulevard des Sables ; avenue de la Côte d’Argent - portion comprise entre la rue des Marsouins et la rue des Tamaris ; rue de la Douane ; Place Dufau ; Place dite "Demi-lune" située boulevard des Sables), Dans les rues Sainte-Catherine et Porte-Dijeaux, - dans l'hyper centre-ville (de 20h à 6h), Sur le marché bihebdomadaire (mercredi et dimanche matins ), Dans l’espace public du centre-ville de ces quatre communes, Sur les marchés en plein air de la commune, Du 5 août au 15 septembre 2020 (de 9h à 22h), Dans l'hyper-centre de la ville (boulevard Gambetta, quai de France, quai Perrière, quai Mounier, quai Jouvin, quai des Allobroges, pont de Chartreuse, rue Massena, boulevard Maréchal Leclerc, avenue Saint Roch, rue Hébert, place de Verdun, rue Lesdiguières, site de la Bastille), Dans l'ensemble des rues, des espaces publics de plein air et sur les accès aux plages des dix communes de la Communauté de communes (Saint-Martin-de-Ré, Ars-en-Ré, Le Bois-Plage-en-Ré, La Couarde-sur-Mer, La Flotte, Loix, Les Portes-en-Ré, Rivedoux-Plage, Saint-Clément-des-Baleines et Sainte-Marie-de-Ré), - sur les quatre secteurs commerçants classés en zone touristique internationale (quartiers de Gaulle, Lajarrige, du marché et du Casino), Dans le cœur de ville, notamment rue Saint-Jean, et sur la totalité du marché en plein air, - les zones piétonnes, permanentes ou temporaire, Depuis le 3 août 2020 (pour une durée renouvelable d’un mois), Dans les secteurs à forte fréquentation citoyenne et commerciale (Capitou / Centre-Ville / La Napoule / Minelle), - dans l'hyper centre-ville (entre 11h et 2h), - dans le centre-ville (Boulevard Gambetta, Gare Thiers - avenue Thiers, Vieux-Nice, avenue Jean Médecin, - boulevard Gambetta, boulevard Amiral-Courbet, boulevard de La Libération, boulevards des Arènes et Victor-Hugo, - sur les marchés hebdomadaires de Noirmoutier et l’Herbaudière, - sur les quais de la Loire (entre 21h et 6h), Dans la totalité de l’espace public à Paris et sur l'ensemble de la Seine-Saint-Denis, des Hauts-de-Seine et du Val-de-Marne, - dans le centre-ville (secteur délimité par le quai Saint-Cast, le boulevard de Chézy, la rue Legraverend, la rue de l’Hôtel-Dieu, la rue Lesage, la rue du Général Guillaudot, le Contour de la Motte, la rue Gambetta, l’avenue Janvier, le boulevard de la Liberté, la place de Bretagne, la place Maréchal Foch), Dans le périmètre des marchés, brocantes et de la foire mensuelle, Dans les rues d'Intramuros, y compris les remparts, Dans le centre-ville, le port et la citadelle, Depuis le 8 août 2020, et pour une durée d'un mois minimum, Dans l'ensemble des rues de l'Eurométropole (Strasbourg, Schiltigheim, Illkirch-Graffenstaden, Lingolsheim, Bischheim, Ostwald, Hoenheim), de Haguenau, de Sélestat, de Bischwiller, d'Obernai, de Saverne et d'Erstein, - sur l'ensemble du territoire de la ville de Toulouse, entre 7 heures et 3 heures du matin, A compter du 21 août 2020 pour toute la Ville Rose, - dans l'hyper centre-ville (Vieux-Tours, la place Plumereau, rue des Halles, rue de la Scellerie, la rue du Commerce, la place de la Résistance et la place de Châteauneuf). La troisième phase, le 20 janvier, permettra d'ouvrir lycées, salles de sports et restaurants[153]. Quels critères pour déclencher un reconfinement en France ? Emmanuel Macron a annoncé, le 28 octobre 2020 au cours d’une intervention télévisée depuis l’Élysée, la mise en place d’un nouveau confinement pour lutter contre la deuxième vague de l’épidémie de coronavirus. Ce confinement est décidé alors que la France fait face à … Semaine 2 de confinement. Le 24 novembre, le président de la République donne les étapes progressives de l'assouplissement du confinement. Sans motif valable ou attestation, une amende forfaitaire de 135 euros sera délivrée. Alors que le couvre-feu dure depuis plusieurs mois et que certains territoires font face à des confinements partiels, le gouvernement envisage déjà le déconfinement complet du pays. Institut national de la statistique et des études économiques, pandémie de maladie à coronavirus de 2020 en France, violence policière pendant le confinement, service central du renseignement territorial, École des hautes études en santé publique, question prioritaire de constitutionnalité, Fédération française des usagers de la bicyclette, Impact de la pandémie de Covid-19 sur les droits de l'homme, Convention relative aux droits des personnes handicapées, Convention européenne des droits de l'homme, 45 000 victimes de la Seconde Guerre mondiale, décédées dans les hôpitaux psychiatriques, Société française d'anesthésie et de réanimation, Conséquences économiques, sociales et environnementales de la pandémie de Covid-19, Crise économique liée à la pandémie de Covid-19, Pandémie de Covid-19 en France#Conséquences économiques et sociales, Plan de relance économique de la France de 2020-2022, « Nous sommes en guerre » : face au coronavirus, Emmanuel Macron sonne la « mobilisation générale », « Un confinement jusqu’au 11 mai, la réouverture progressive des écoles… », Décret n° 2020-264 du 17 mars 2020 portant création d'une contravention réprimant la violation des mesures destinées à prévenir et limiter les conséquences des menaces sanitaires graves sur la santé de la population, article R. 49 du code de procédure pénale, « Le jogging interdit à Paris entre 10 heures et 19 heures, des masques en tissu offerts… Les annonces d’Hidalgo », « Ce qu’il faut retenir des annonces du gouvernement sur la « phase 2 » du déconfinement », « Emmanuel Macron annonce une accélération du déconfinement ». Depuis quand le deuxième confinement s’applique-t-il ? De plus, les mesures de confinement ont forcé de nombreux organismes d'aide à arrêter ou ralentir leur activité. après quatre semaines de confinement, la courbe n'a que ralenti faiblement : des gens continuent à travailler et prennent les transports en commun ; la question de la transmission aérienne du virus en complément des, des personnes contagieuses sortant du milieu médical sont renvoyées chez elles où elles peuvent contaminer leur famille, Un modélisation montre que si le premier confinement a permis dans les pays européens de mettre à l'arrêt l'épidémie, ce n'aurait pas été le cas si le coefficient de diffusion. C’est l’observation de l’évolution des quatre principaux indicateurs de surveillance qui détermine le bien-fondé de procéder au reconfinement (local ou général). Malgré les mesures de confinement et de prévention décidées par le gouvernement français, les enfants migrants non accompagnés à Marseille et à Gap continuent de vivre dans des conditions précaires et surpeuplées, sans les services de protection de l'enfance dont ils ont besoin et qu'ils devraient recevoir[127]. La SNCF met en place un plan de transport pour le retour des Parisiens le week-end du 8 mai[89]. Sa durée initiale était fixée pour un peu plus d’un mois minimum et non quatre semaines, soit du jeudi 29 octobre minuit au mardi 1er décembre a minima, d’après le chef de l’État, dans toute la France métropolitaine. Il listait quatre options pour éviter un alourdissement du bilan humain d’ici au 1er novembre 2020 : Au cours de l’été, les membres du Conseil scientifique Covid-19 préconisait une réflexion sur un plan de « confinement local » pour 20 grandes métropoles. Jean-Baptiste Eyraud, porte-parole de l'association Droit au logement, évoque une « catastrophe » : « Le confinement, pour les mal-logés, c'est comme si on les mettait en prison. Pour les scientifiques compétents dans le domaine de la modélisation des épidémies[69], le but du confinement est de stopper la diffusion exponentielle du virus[70],[71],[72] en agissant sur le nombre de reproduction de base ( Il fait référence à l'état d'urgence sanitaire qualifié par Édouard Philippe d'« état d'urgence de droit commun », lui-même se référant à la loi du 3 avril 1955, adoptée dans le contexte de la guerre d'Algérie, et qui, selon lui, a vu son application se diversifier après les attentats de 2015, visant militants écologistes, musulmans et manifestants. Après l'annonce du confinement, de nombreux citadins quittent les grandes villes[86]. Avec l’arrivée de la Covid-19, les conditions de pauvreté des quartiers défavorisés ont été accentuées. Cela passait notamment par la fermeture totale des bars et restaurants. Le 21 mars, le préfet des Alpes-Maritimes décrète un couvre-feu dans tout le département[33]. La baisse du trafic routier s'est également accompagnée en mars d'une baisse des nuisances sonores (-4 dB à - 6 dB) d'origines routières (voir graphique ci-dessous)[53]. Comme annoncé par Jean Castex lors de sa conférence de presse du 10 décembre 2020, le couvre-feu ne s’appliquait pas le soir du 24 décembre 2020 : les Français ont pu se déplacer entre 20 heures et 6 heures du matin en métropole, dans le respect des gestes barrières. Elle déplore l'inégalité créée par la règle des 1 km qui réserve la nature aux riverains appartenant souvent aux classes favorisées. Mathilde Damgé, Jérémie Baruch et Maxime Ferrer, Chloé Hecketsweiler et Cédric Pietralunga, «, Validity Foundation - Mental Disability Advocacy Centre, Société Française d’Anesthésie et de Réanimation, Générateur d'attestation de déplacement dérogatoire - COVID-19. Le gouvernement avait accordé un délai de 24 heures à la grande distribution pour retirer les produits « non essentiels » de ses rayons. Si le nombre de contaminations demeure en dessous de 5.000 cas par jour, les mesures suivantes s’appliqueront : Emmanuel Macron a indiqué qu’ensuite, un point serait fait « tous les 15 jours » sur la situation sanitaire. Dans son avis du 22 septembre 2020, le Conseil scientifique Covid-19 insistait sur « l’urgence d’agir » pour en reprendre le contrôle. Seules ces mesures sanitaires s’appliquaient. Depuis, le chef de l’État a présenté, le 24 novembre 2020, un plan de sortie progressive du deuxième confinement en trois étapes (voir plus haut). La loi organique du 23 mars 2020 suspend les délais liés à l'examen d'une question prioritaire de constitutionnalité, ce qui signifie que tout recours sera reporté d'au moins trois mois après que l'urgence sanitaire sera levée[98],[99],[100]. *** Deuxième étape : le mardi 15 décembre 2020. Un témoignage relayé le 15 avril 2020 par l'Intersyndicale nationale des internes, recueilli dans un hôpital psychiatrique de banlieue parisienne, évoque les conséquences des protocoles de confinement, comme quoi tout nouveau patient entrant doit être examiné par un médecin généraliste ou urgentiste avant son entrée, puis rester confiné dans sa chambre quatorze jours, sans contact avec les autres patients. Elle propose de restreindre l'accès à la nature dans la région de résidence sans limitation de durée[151]. Les cérémonies religieuses ont été interdites, à l’exception des enterrements (pas plus de 30 participants) et des mariages (dans la limite de 6 personnes). Le Défenseur des droits, Jacques Toubon, demande le 25 mars 2020 l'organisation d'un débat public sur l'état des libertés en France après l'adoption du projet de loi d'urgence sanitaire[103]. » Selon lui, malgré la réquisition de 2 000 places d'hôtel pour les sans-abri, « on est très loin du compte pour les sans-abri, et il n'y a rien pour les mal-logés. Désormais, il n’est plus nécessaire de présenter une attestation de déplacement dérogatoire pour quitter son domicile en journée. Cela touche en particulier les étudiants très isolés avec des cours en distanciel, les chômeurs et les télétravailleurs quand ce bouleversement n'a pas été préparé. Le reconfinement général, à l’échelle nationale, figurait seulement en dernier recours dans les quatre scénarios de gestion de crise élaborés par le gouvernement pour faire face à un éventuel rebond de l’épidémie de coronavirus. Il est également question du maintien à domicile d'un tiers du personnel des deux sites considéré comme vulnérable, mentionnant comme conséquences notables l'augmentation du passage à l'acte des résidents ainsi que l'augmentation corrélative de la quantité de neuroleptiques administrée. À partir du 26 février 2021 au soir, des interdictions de circulation sont mises en place durant les week-ends et sur des territoires restreints, dans les environs de Nice et de Dunkerque[155],[156]. « Nous devons respecter la règle du couvre-feu, rester chez soi, donc, le 31 décembre », a déclaré Jean Castex le 10 décembre 2020. Aucune date officielle de fin de confinement n’a été annoncée par le président de la République. Fin du reconfinement : Emmanuel Macron annonce une sortie en trois étapes, Nouveau confinement : la liste des commerces « essentiels » autorisés à ouvrir, Déconfinement du 15 décembre allégé : les annonces de Jean Castex, Covid-19 : couvre-feu à 20 heures dès le 15 novembre, pas de dérogation le 31 décembre, Sortie progressive du confinement : les annonces de Jean Castex, Sortie du nouveau confinement : fin de l’attestation de déplacement dérogatoire, Reconfinement adapté d’octobre 2020 : les annonces d’Emmanuel Macron en résumé, Mise en place du nouveau confinement : les principales annonces de Jean Castex, Reconfinement : date de début, date de fin, Calendrier du reconfinement dès le 29 octobre minuit. Contrairement au printemps 2020, plusieurs espaces accueillant du public sont restés accessibles au début du nouveau confinement. En novembre, la diminution de bruit est beaucoup plus faible[180]. D'après le journaliste Dominique Vidal, qui mentionne la révélation par le Canard enchaîné d'une circulaire du 19 mars[137], mise en ligne sur le site de la Société française d'anesthésie et de réanimation (SFAR)[138] et référencée dans le document des consignes et recommandations concernant l’appui des établissements de santé aux EHPAD présenté par le ministère des solidarités et de la santé[139] édictant les critères de « non-admission aux soins critiques »[140], la politique actuelle fait penser à la période de l'eugénisme allemand ayant consisté, selon lui, à éliminer les « bouches inutiles » afin de libérer des lits en période de crise (voir Aktion T4). Le nombre de cas confirmés de malades du coronavirus en France, passe de 4 500 cas à 5 423 cas dépistés (dont 400 graves ainsi que 127 décès) dans la journée du 15 mars 2020[5]. trois départements de la petite couronne parisienne . Dans le secteur administratif de la préfecture du Pas-de-Calais, des associations dénoncent des entraves de l'exercice de leur mission bénévole, en contradiction avec les déclarations d'Emmanuel Macron à ce sujet. MIPROF (Mission interministérielle pour la protection des femmes victimes de violences). C’est l’instauration de l’état d’urgence sanitaire qui permet ainsi d’ordonner un couvre-feu, comme celui qui s’appliquera en Île-de-France et dans huit métropoles à compter du 17 octobre. Avant la disparition du classement, la zone d’alerte maximale concernait : Des mesures drastiques ont théoriquement été mises en place dans ces zones durant deux semaines. Les écosystèmes ont été à même de bénéficier du confinement. Le rapport de la Fondation Abbé Pierre sur le mal-logement, publié en janvier 2020, fait état de près de quatre millions de personnes mal-logées en France[97]. Ce thème des « morts acceptables » a été relayé par d'autres associations[132]. Le mardi 24 novembre, le Président de la République, Emmanuel Macron, annonce un déconfinement en trois phases qui sera différent du déconfinement du mois de mai. Au mois de mai, la baisse est de seulement 8,7 % par rapport à ce qui était attendu (estimation basée sur l’historique des dernières années), suivant ainsi une tendance de retour à la normale[182]. Cette décision fait suite aux mesures de confinement du 22 janvier par le gouvernement chinois qui a placé sous quarantaine trois villes de la province de Hubei : Wuhan, Huanggang et Ezhou, puis d'autres villes comme Shanghai et Pékin. Il s'exprime le 24 mars dans une tribune du Monde[105] dans laquelle il la désigne sous le terme de loi scélérate, en référence aux lois dénoncées en 1898 par Léon Blum et qui, visant les anarchistes, étaient vues comme susceptibles de violer les libertés élémentaires de tous. Le confinement imposé à l'ensemble du pays, pour une durée minimale de quinze jours[15], est une mesure destinée à restreindre les mouvements de population afin de limiter la propagation de la pandémie de maladie à coronavirus de 2020 en France. Si la situation sanitaire le permet, les universités pourraient reprendre le cours avec tous les étudiants début février, selon les annonces faites par Emmanuel Macron le 24 novembre 2020. 30.12.2020 Covid-19 : pas de 3ème confinement, mais une vigilance territoriale accrue; 18.11.2020 "La mort, je l’ai sentie tout de suite" : les soignants racontent le choc de l’épidémie Pour le psychiatre Serge Tisseron, « Le déni de l’importance du lien social pour la santé psychique, manifesté tout au long du premier confinement, à la fois dans les mesures prises et la façon de les présenter, a déjà eu des effets désastreux ». En France, le ministre du Culte est seul en charge de la police intérieure de son édifice cultuel, limitant les pouvoirs du maire de la commune. Les habitants des ZUS sont alors, dû à toutes inégalités, 2,5 fois plus exposés au virus. Le protocole sanitaire à l’école a toutefois été été durci. Le confinement a eu un impact majeur sur l'environnement, notamment sur l'empreinte carbone des français qui a chuté de 62 % depuis la mise en place du confinement. La loi d'urgence du 23 mars pour faire face à l'épidémie de Covid-19 crée et instaure immédiatement l'état d'urgence sanitaire[38],[39]. les zones soumises à l’état d’urgence sanitaire, les zones soumises à l’état d’urgence avec mis en place d’un couvre-feu (54 départements sont pour l’heure concernés), la fermeture provisoire d’établissements pouvant recevoir du public (restaurants, bars, lieux de réunion…), l’interdiction de circulation des personnes et des véhicules, l’interdiction de l’accès aux moyens de transport collectif dans certaines zones, l’interdiction (sauf exceptions définies) des déplacements de personnes conduisant à la fois à sortir d’un périmètre défini par un rayon de 100 kilomètres de leur lieu de résidence et de sortir du département dans lequel ce dernier est situé, l’interdiction des marchés, couverts ou non. Les témoignages dénoncent l'usage de coups, de spray lacrymogène au visage, de clés d'étranglement et de taser, ainsi qu'un cas de policier à moto renversant volontairement un piéton[111],[115]. Emmanuel Macron a fixé au 20 janvier 2020 la troisième étape de l’allègement du deuxième confinement. le couvre-feu s’applique, sans dérogation, suppression de l’attestation de déplacement en journée dès le 15 décembre, les déplacements entre les régions autorisés dans la France entière à compter du 15 décembre, interdiction de toute pratique individuelle (footing, par exemple) entre 20 heures et 6 heures à partir du 15 décembre, la réouverture des lieux culturels (cinémas, théâtres, musées, salles de spectacle…) et des établissements recevant du public (parcs d’attraction, cirques, casinos…) est, les règles sur les lieux de culte « ne seront pas revues à la hausse » après le 15 décembre, les réunions privées, les rassemblements familiaux et les déplacements non nécessaires sont à éviter, les « déplacements pour motifs de promenade ou physiques en extérieur » sont autorisés, les rassemblements sur la voie publique toujours pas autorisés, réouverture possible des salles de cinéma, des théâtres et des musées à compter du 15 décembre 2020, dans le cadre d’un protocole sanitaire strict (« un système d’horodatage pourra permettre l’organisation des représentations en fin de journée », avait précisé le président Macron, le billet devant servir d’attestation en cas de contrôle durant les horaires du couvre-feu), maintien de l’interdiction des « grands rassemblements festifs » et poursuite de la fermeture des lieux susceptibles d’accueillir un grand nombre de personnes (salles à louer, restaurants, bars, discothèques, parcs d’attraction), deux semaines après les lycées, « ce sont, confirmation de la réouverture des commerces (« quelle que soit leur taille ») et des services à domicile le 28 novembre 2020 au matin, levée des mesures de fermeture de certains rayons dans les grandes surfaces le 28 novembre, possibilité d’ouvrir jusqu’à 21 heures des commerces et centres commerciaux le 28 novembre, le gouvernement s’engage à « faciliter les dérogations » pour le travail du dimanche des commerçants, jauge de densité dans les commerces portée à 8 mètres carrés par client (règle applicable sur le surface de vente totale), mise en place d’un système de comptage des clients et d’un système de circulation à sens unique dans les commerces de plus de 400 mètres carrés, ainsi qu’un  dispositif de renouvellement de l’air (ventilation naturelle ou aération mécanique), réouverture des auto-écoles le 28 novembre pour l’activité de préparation aux activités pratiques du permis de conduire (la préparation des épreuves théoriques continueront, elles, à se faire à distance), les spectacles (cinéma, théâtres, concert…), autorisés à partir du 15 décembre dans le respect du protocole sanitaire, devront se terminer à 21 heures (le billet servira de justificatif pour rentrer chez soi si le spectacle se termine à 21 heures), reprise des visites immobilières « pour les professionnels et les particuliers », pas de réouverture des bars et des restaurants avant le 20 janvier 2021, les sorties et les activités sportives possibles individuelles de « plein air » (jogging, équitation, golf…) dans un rayon de 20 kilomètres pour une durée maximum de 3 heures (cet élargissement du périmètre autorisé de sortie ne concerne toutefois pas les visites à la famille ou aux amis, dans un premier temps), reprise des activités extra-scolaires sportives en extérieur dès le 28 novembre pour les enfants, avant une reprise des activités extra-scolaires sportives en intérieur à partir du 15 décembre, les activités sportives d’intérieur pratiquées tout comme les sports collectifs ou de contact en extérieur resteront interdits pour les adultes, au moins jusqu’au 20 janvier (les salles de sport, les stades et les arenas pourraient rouvrir à cette date), mise en place d’un nouveau couvre-feu « sur l’ensemble du territoire » à compter du 15 décembre 2020 et jusqu’au 20 janvier 2020, à l’exception des 24 et 31 décembre (les visites aux proches ou à la famille seront alors autorisées), les déplacements entre régions et à l’étranger de nouveau possibles à partir du 15 décembre (présentation obligatoire d’un test PCR de moins de 72 heures pour un déplacement vers les territoires ultra-marins), fin des attestations de déplacement dérogatoire en journée à partir du 15 décembre (elles resteront obligatoires entre 21 heures et 7 heures), reprise des cérémonies dans les lieux de culte dès le 28 novembre (jauge fixée à 30 personnes maximum, avant une augmentation en fonction de l’évolution de l’épidémie), les stations de ski pourront rouvrir durant la période des fêtes de fin d’année, mais les remontées mécaniques devront rester fermées, chasse et pêche autorisées dès le 28 novembre dans le cadre des déplacements de 20 kilomètres autour de son domicile, et pendant trois heures, « Chaque entreprise fermée à cause du confinement pourra recevoir chaque mois, soit 10.000 euros, soit, si c’est plus avantageux, une compensation représentant 20% du chiffre d’affaires réalisé sur la même période l’année précédente », et ce, dès le mois de décembre, aide « exceptionnelle » aux saisonniers, intermittents et travailleurs précaires à qui une garantie de revenus mensuels minimum de 900 euros sera accordée entre novembre 2020 et février 2021 (sous réserve d’avoir travaillé au moins 60% du temps au cours de l’année 2019), création de 20.000 emplois étudiants pour venir en soutien aux étudiants décrocheurs, doublement le budget alloué aux Crous pour verser des aides financières d’urgence aux étudiants en situation de précarité, la nouvelle attestation dérogatoire, pour justifier d’un déplacement nécessaire (aller au travail, faire ses courses, pratiquer une activité de plein air, se soigner,  convocation judiciaire…), l’attestation pour les déplacements professionnels, à faire signer par l’employeur (inchangée par rapport à la version antérieure), l’attestation pour les déplacements scolaires, à faire signer par l’école (identique par rapport à la version antérieure), l’instauration (comme au printemps 2020) d’une, les visites seront autorisées dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (, mise en place d’un confinement sur l’ensemble du territoire métropolitain.

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